Partis à deux. Rentrés à quatre. Je dois admettre que tout s'est passé au-delà de mes espérances... Pour une fois...

J'ai encore trop peu de temps pour décrire tout ce qu'il y aurait à... Le goût retrouvé de vacances depuis longtemps perdues...

Les frères, les cousins, et le plaisir attendri de les voir devenus hommes.

Le petit qui s'enivre d'air et d'espace sur l'interminable blancheur du sable. Voir mon ventre dorer jour après jour au soleil et ne regretter qu'un tout petit peu ces années de blancheur citadine...

Les pronostics des tantes et des cousines sur la nouvelle lune (le 6) ou la pleine (le 19)... Finalement, la poire qui se coupe en deux (phrase d'une richesse polysémique dont je me pâme encore) la nuit du 12.

L'arrivée de S. quelques jours plus tard, et qui restera une petite semaine jusqu'à notre retour tous ensemble.

Beaucoup de choses qui mériteraient un développement chacune si j'arrive 1) à trouver le temps nécessaire et 2) à ne pas rester paralysée par la rosebonbonnitude dans laquelle je crains toujours de tomber dès que me prend quelque bouffée de joie, d'optimisme ou... tout simplement de Sagesse.