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Musique, fichtrediantre!

Tribune
Marguerite :
marie-pierre : J'ai été très intéressée par vos différentes remarque, vos extraits de livres et le commentaire que vous en faites. Tenez-moi au courant, merci.
Bien à vous,

Marie-Pierre Gauthier
Sendy : hi??
Sledymmenly : Today is good poorly, isn't it?
Damien : Merci

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Vrac de news

Comme d'habitude, la période dépressive est en train de passer d'elle-même. Rhaah! je dois avoir du sang de chat quelque part, je n'arrive même pas à être constante dans le désespoir. Je retrouve petit à petit ma place d'observatrice détachée... Elle n'a presque pas eu le temps de refroidir...

Dé-ta-chée, je suis. De beaucoup de choses. De beaucoup de gens. Oui. J'ai appelé au secours au plus noir de ces dernières semaines. Silence. J'en allais jusqu'à me relever la nuit pour voir si j'avais reçu une réponse. O messages reçus. Et me recoucher en mordant jusqu'au sang mon envie de pleurer. J'ai surmonté mon aversion pour l'intrusion téléphonique et ai laissé filer les sonneries dans le vide jusqu'à ce que sa voix sur répondeur m'énerve. Je n'ai même pas laissé de message. Je reste amie malgré tout. Détachée. Il peut toujours compter sur moi. Moi aussi, je peux compter... sur moi. Dé-tachée.

Je me remets à dessiner. Pour l'aîné qui adore ça. Ce sont presque les seuls moments où il est calme et concentré. Ca me fait retrouver des vieux fantasmes de l'époque où je rêvais d'être illustratrice pour enfants. Au moins là, j'ai un public conquis d'avance. Et puis... bien des auteurs ont commencé par des histoires à destination de leurs enfants, n'est-ce pas professeur Tolkien? Qui a dit J. K. Rowling? Vade retro, imposteuse!*

Bref. Et puis il y a deux jours, S. est rentré à la maison après un petit tour au BHV "Tiens j'ai un cadeau pour toi" Du matos à dessin neuf, avec de l'argile a sculpter et de la peinture en plus... Je ne suis pas souvent émue... C'est tellement doux quand mon grizzli rentre ses griffes pour me caresser la joue...

Drôle de nouvelle en début de semaine. Il y a un long moment, je m'étais inscrite sur Copains d'avant, sans pour autant payer ce forfait idiot, ce qui fait que, si je peux voir tous les noms des inscrits, je peux me brosser si je veux écrire à l'un ou à l'une, ou avoir ses coordonnées, ou qu'est-ce. J'ai juste droit à un message de temps en temps pour me signaler que de nouveaux inscrits ont fréquenté le même bahut que moi, en général des noms parfaitement inconnus, aussi, la plupart du temps ces messages vont direct à la poubelle. Mais comme depuis un moment, ma boite mail semble désertée par les copains de maintenant, en désespoir de cause, j'ai ouvert le message de ceux d'avant. Et j'ai vu un nom familier. Un garçon qui était en terminale lorsque j'étais en première, avec qui je partageais les cours de grec (les deux niveaux étant regroupés pour des raisons d'effectifs, joie des options préhistoriques). Je me rappelle quelqu'un d'agréable à l'oeil, brillant et désinvolte comme j'aime et pour qui j'avais un (très) léger béguin, qui fut complètement anéanti lorsqu'à quelques semaines de la fin de l'année, il m'avisa au cours d'une conversation avec les autres élèves alors que nous attendions dans le couloir: "tu es dans notre cours, toi? Ah bon, je ne t'avais jamais vue..." (Sale con!) Mais ceci n'est qu'un souffle dans l'histoire de mes vents... En tout cas, en revoyant son nom, je ai eu un peu de curiosité, sans envie de "re"prendre contact toutefois. A partir de là, j'ai navigué sur la fiche de mon ancien lycée, trouvé des photos de classe, reconnu plein de gens, et beaucoup de visages auxquels je ne pouvais plus attribuer de nom... Mes "copains" principaux de l'époque n'y figuraient pas, de toute façon.

La nuit suivante, j'ai rêvé de pas mal de gens et comme à chaque fois que ça m'arrive, je me suis sentie coupable au réveil: c'est moi qui ai coupé les ponts, j'ai dû passer pour une ingrate, et tout...

Le lendemain, je reçois un coups de fil:
"Allo bonjour, pourrais-je parler à ***?
- C'est moi
- Salut, c'est C. je ne sais pas si tu te souviens de moi...
- Ca alors, C! Mais bien sûr que je me souviens de toi!!!"

J'arrête tout de suite au cas où j'aurais quelques lecteurs ou lectrices avides de romances à deux balles: C. n'est pas l'ombrageux jeune homme sus-cité, mais l'une des deux comparses de mes années strasbourgeoises et lycéennes, avec qui j'ai passé près de trois ans à dessiner pendant les cours. Gasp, je me rappelle encore la première fois que nous nous sommes parlé, en 3e, en salle de permanence où nous étions côte à côte: "Ah, tu dessines? - Ah toi aussi? - Fais voir?... Pas mal... - Toi non plus, dis donc..."

Bref, trêve de flash-backs à la con, elle s'installe à Paris après avoir fait les Arts Déco (mais vous allez arrêter d'appuyer là où ça fait mal, Monsieur le Destin?), elle a cherché mon numéro, l'a trouvé, et voilà... On va se revoir dans les prochains jours.

A part, ça, ayant épuisé ma provison de DiVX (pôbien), je me suis rabattue sur Charlie et la Chocolaterie. Oui, je dis bien, rabattue. Non, je ne me suis pas précipitée pour aller voir l'adaptation de ce grand classique de l'enfance par un des maîtres du fantastique. Je me rappelle avoir lu ce bouquin à l'école sur les conseils de petites camarades enthousiastes et avoir trouvé ça sympathique, sans plus et surtout, sans souvenir impérissable. Impressions après le film: chouette, il y avait quand même Helena Bonham Carter. A part ça, Johnny Depp ressortait exactement les mêmes mimiques que dans Las Vegas Parano. Alors, je sais que les deux films ne s'adressant pas au même public, le sieur Depp a sans doute pensé qu'on ne ferait pas le rapprochement. Moi, je n'ai pas pu m'empêcher d'imaginer tout au long du film que Willy Wonka carburait à la mescaline. Ensuite, je ne sais pas si j'ai l'esprit mal tourné mais j'ai trouvé que la représentation de la chocolaterie avec ses immenses cheminées et ses hangars sous la neige avait quelque chose d'un peu concentrationnaire et je me suis demandé si c'était voulu et pourquoi... Enfin, j'ai trouvé les espèces de chorégraphies complètement nulles et ringardes, dignes d'un clip de Sheila époque disco. Ah, mais c'est du second degré!!!! ben c'est du second degré nul, ringard et moche. Dans l'ensemble, Wonka était aussi rassurant qu'un Michael Jackson dans une cour de maternelle et de toutes façons, les histoires de rivière de chocolat et de paradis bonbonniers ne me font pas plus rêver que cela.

En revanche, j'ai aussi vu un dessin animé intitulé l'Ile de Black Mor, véritable plaisir des yeux, et qui se rapproche beaucoup plus de ce qu'étaient mes rêves d'enfant.

Point.

*Parce qu'en fait, j'ai aussi retrouvé de mes dessins datant du lycée** et j'ai d'un coup compris la raison qui me faisait détester ce fayot binoclard plutôt que de ne lui accorder qu'un simple mépris: cette dame a volé mes idées, mon univers en se contentant de remplacer mon héroïne sexy et espiègle par l'Agnan de la classe du Petit Nicolas. Plagiaire!!!

**Preuves à l'appui dès que j'aurai un scanner, c'est à dire dans neuf ou dix ans... Rhaah, et dire que j'aurais pu être riche...

Au cas où vous ne l'auriez pas deviné, ceci a été écrit par WeepingWillow, à 00:31 Pour enrichir encore un peu plus la rubrique "Cabinet des curiosités (créations personnelles)".

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