On dirait que je viens de réussir un exploit dans cet univers d'harmonie communautaire et heureuse qu'est la jouebberie, où seuls les commentaires d'approbation admiratoire ah c'est vachement trop beau semblaient jusqu'à présent être autorisés. Je ne sais pas si je dois être fière.

Toujours est-il que dans le fond ça me réjouit un tout petit peu. On peut toujours espérer de bonnes surprises des couteaux tirés. Je ne sais pas si je dois apaiser un remous -injustement, d'ailleurs- à peine réveillé ou si je dois souffler sur ces braises inespérées...

Envie surtout de rectifier les cibles réelles... Mais en valent-elles vraiment la peine? Les amis des chevaux et des dauphins, les pouffes "miangemidémon", les gentils en tout genre... M'en fous au fond... "Si t'aimes pas, tu as le droit, mais n'en dégoûte pas les autres" disait maman, il y a longtemps.

Comme le disait Queneau:

"A

La

Postérité

J'y dis merde

Re-merde

Et re-re-merde."