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Musique, fichtrediantre!

Tribune
Marguerite :
marie-pierre : J'ai été très intéressée par vos différentes remarque, vos extraits de livres et le commentaire que vous en faites. Tenez-moi au courant, merci.
Bien à vous,

Marie-Pierre Gauthier
Sendy : hi??
Sledymmenly : Today is good poorly, isn't it?
Damien : Merci

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Novembre 2009 : 1 article
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Novembre 2008 : 1 article
Juin 2008 : 1 article
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Mars 2008 : 1 article
Août 2007 : 1 article
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Mai 2007 : 1 article
Avril 2007 : 1 article

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Il y a comme ça de petites pensées indésirables qui surgissent dans vos rêves et restent, comme des grains de sable venus se loger dans les coins des yeux et qui subsistent douloureusement, même quand le sommeil s'est retiré. Les mots de ma soeur, il y a presque trois ans... Trois ans, c'est drôle, c'est une distance à laquelle je n'avais pensé précisément depuis très longtemps. C'était soit plus, quand je pensais à "avant", soit deux ans, l'âge du petit, le temps à son échelle. Et le temps avance et ça fait maintenant trois ans que le Big-Bang a eu lieu. "Mon 11 septembre à moi", comme avait alors eu le bon goût de dire ma mère.

En rêve, allez savoir pourquoi, j'ai repensé aux séries de signes bizarres qui se substituent parfois aux caractères que certains ordinateurs ou logiciels, je ne sais pas, ne reconnaissent pas, par exemple, je m'appelle Hÿfffe9lÿfffe8ne sur certains mails...

Et cela ma rappelé les messages incendiaires de ma grande soeur émaillés de ces petits jurons de bande-dessinée. En les rendant presqu'illisibles ils donnaient à ses diatribes un caractère pittoresque et atténuaient un peu par ce ridicule, la violence éructante de ses propos. Et d'amusée, je me les rappelle avec un écoeurement croissant. Ils devraient pourtant me conforter désormais, preuve même de leur folie à eux, de leur aveuglement éructant et haineux, sous le masque irréprochable de la foi. Et pourtant...

Ces paroles pèsent toujours autant sur mon coeur et ma conscience, non que je sois désormais encore tentée de croire, comme ce fut longtemps et régulièrement le cas, qu'ils avaient peu-être raison, mais parce qu'au fond, ces paroles me font douter de Dieu même, le grand pourvoyeur de névroses...

Au cas où vous ne l'auriez pas deviné, ceci a été écrit par WeepingWillow, à 10:17 Pour enrichir encore un peu plus la rubrique "La folle du logis (ébauches d'une bibliothèque idéale)".



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