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Musique, fichtrediantre!

Tribune
Marguerite :
marie-pierre : J'ai été très intéressée par vos différentes remarque, vos extraits de livres et le commentaire que vous en faites. Tenez-moi au courant, merci.
Bien à vous,

Marie-Pierre Gauthier
Sendy : hi??
Sledymmenly : Today is good poorly, isn't it?
Damien : Merci

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Restes d'un rêve

Lettre de Denys - trois feuillets imprimés sur du vélin beige plié en six - avec une image aux couleurs d'enluminure sur l'un des six tiers du recto verso, au milieu, à droite, comme une petite couverture illustrée quand on replie le feuillet - il m'y vante notamment les mérites d'une édition de l'Utopie dont la seconde partie a été en réalité écrite par Platon (?!?) m'assure-t-il, enchaînant ensuite sur le caractère proprement nietzschéen du Roi Lion de Disney... - Mon esprit se débat avec un violent effort pour émettre timidement l'idée que Platon était peut-être légèrement antérieur à More, mais je n'en suis finalement pas sûre...

Bref passage de Monica Bellucci dans un imperméable gris ardoise disant qu'elle n'a pas le temps de s'acheter des livres - Assises côte à côte sur un banc sous la colonnade de béton d'un immeuble sur pilotis - pluie - Je lui réponds un truc qui, je crois, la vexe.

Blague avec , je crois, sur un boxeur noir très efféminé: surnom Mohammed Ali mcBeal

Nous déambulons dans les rues d'une ville aux proportions monumentales que mon oeil arrive cependant à saisir simultanément dans tous ses volumes sans avoir besoin de tourner la tête - nous contournons un bâtiment semblable à un château de Versailles de réduit à la taille d'un petit pâté de maisons - Des murs ornés de sculptures et dorures comme les parois d'un salon, mais à l'extérieur - des verrières de la taille de celle d'une cathédrale, aux vitraux colorés avec des battants comme ceux d'une fenêtre normale - tous ouverts, sur toutes les façades - je sais que ces fenêtres de proportion surhumaine ouvrent toutes sur la même salle qui s'étend au premier étage sur toute la surface du bâtiment - on cherche à percevoir les échos d'une fête qui devrait se dérouler dans ce salon gigantesque dont j'aperçois les plafonds décorés - Il y règne un silence de mort.

Au cas où vous ne l'auriez pas deviné, ceci a été écrit par WeepingWillow, à 14:03 Pour enrichir encore un peu plus la rubrique "Oniromancie".

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